#SADC : La Secrétaire exécutive adjointe dément que Tshisekedi ait été privé de parole.


La Secrétaire exécutive adjointe de la Communauté de développement de l’Afrique australe (SADC), Angèle Makombo, a réagi ce jeudi aux rumeurs et publications fallacieuses circulant après le Sommet virtuel des Chefs d’État et de Gouvernement de la SADC, tenu le 17 décembre.

Dans une déclaration publiée sur son compte X, Makombo précise que le sommet s’est déroulé « à huis clos, sans médias », avec seulement deux points à l’ordre du jour : la situation à Madagascar et la confirmation du Président sud-africain Cyril Ramaphosa en qualité de Président par intérim de la SADC, suite au désistement de Madagascar, ainsi que l’élection du Président zambien Hakainde Hichilema comme prochain président en exercice.

Sur les seize États membres de la SADC, seuls sept ont pris la parole : l’Afrique du Sud, qui présidait le sommet ; le Malawi, dont la Vice-Présidente a présenté le rapport de la mission d’établissement des faits à Madagascar ; la Namibie, le Botswana, la Zambie, Madagascar et le Zimbabwe, ce dernier apportant un amendement mineur au communiqué final.

Mme Makombo déplore toutefois la propagation de fausses informations. « Au lieu d’analyser la pertinence du communiqué, les détracteurs en tous genres et praticiens de l’information non certifiée ont publié des fake news, notamment des soi-disant photos du Président Tshisekedi à qui on aurait retiré la parole », a-t-elle écrit. La responsable a précisé que le Président congolais portait une simple chemise, comme son homologue sud-africain Ramaphosa, et non un costume comme suggéré par ces publications.

Le communiqué final du sommet, souligne Mme Makombo, reste un document officiel qui reflète fidèlement les décisions et discussions menées entre les États membres, mettant ainsi fin aux spéculations infondées.


View 108 times

Haut-Katanga : 4 enfants d’une même famille périssent dans un incendie à #Kasumbalesa.


Selon plusieurs témoins interrogés sur place, les victimes étaient enfermées à l’intérieur de leur maison par leurs parents, comme c’était souvent le cas lorsque ces derniers se rendaient au marché. Alertés par les flammes et la fumée qui s’échappaient du bâtiment, les voisins ont tenté de porter secours aux enfants en perçant le mur de la maison, mais il était déjà trop tard. Les quatre corps ont été retrouvés calcinés.

La tragédie a été confirmée par le maire de la ville, maître André Kapampa, qui a précisé qu’une enquête a été ouverte afin de déterminer l’origine de l’incendie.

« Je confirme qu’il y a des enfants que nous venons d’ailleurs d’enterrer à quatre, qui ont été brûlés dans une maison. Il y a eu incendie et quatre enfants enfermés ont trouvé la mort. Mais le parquet est déjà sur le dossier pour les enquêtes », a déclaré l’autorité urbaine au téléphone de 7SUR7.CD.

Pour l’instant, les causes exactes du feu demeurent inconnues, même si les autorités locales privilégient la piste d’un court-circuit ou d’un acte accidentel.

Ce drame relance le débat sur la sécurité domestique et la vigilance des parents face aux risques d’incendie dans les milieux urbains. Ces derniers mois, les villes de Lubumbashi et de Kasumbalesa connaissent une recrudescence d’incendies domestiques. Selon les statistiques locales, plus de cent cas avaient été enregistrés au cours de l’année 2024, principalement à la fin de la saison sèche.


View 141 times

Pourquoi les gens aimer faire les choses en groupe sauf le relation sexuel? 🤣


View 676 times

La pauvreté est une malédiction ou ce le résultat de nos actions ( exemple : les gens travail toi tu regarde la télé. Les gens crée les entreprises et toi tu attends Dieu descendre) ?


View 768 times