Le Panel des Facilitateurs a salué les signaux positifs récemment envoyés par les protagonistes du conflit en RDC, en particulier leur ouverture à un dialogue inclusif. Ils ont exprimé leur profonde gratitude à Faure Gnassingbé pour son rôle déterminant dans la médiation et son engagement constant pour une Afrique pacifique et solidaire.

À travers cette initiative diplomatique majeure, Lomé confirme son rôle de carrefour de la paix africaine, et la RDC reste au centre des préoccupations des dirigeants engagés pour une solution durable à l’une des crises les plus complexes du continent.


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Kabila, Katumbi et la stratégie des vaincus
Sous les oripeaux du patriotisme et les appels factices à l’unité nationale, une stratégie trouble se dessine. Kabila, Katumbi et leurs émissaires ressurgissent des marges du pouvoir, portés non par une vision, mais par une ambition blessée. Dans cet éditorial incisif, Litsani Choukran démonte les mécaniques d’une alliance contre-nature, où l’orgueil des vaincus tente de se réinventer en sauveurs de circonstance. Une plongée acérée dans les coulisses d’un retour programmé — ou d’une sortie pathétique.

Il y a dans certaines manœuvres politiques une mélancolie tragique, un air de valse triste sous un lustre poussiéreux. Nous voilà donc, une fois de plus, spectateurs d’un ballet grotesque, exécuté par ces vieux illusionnistes de la République qui, croyant dominer l’ombre, s’y sont noyés. Les revoici qui frappent à la porte d’un théâtre dont ils ont pourtant incendié la scène.

Le pacte secret avec l’agresseur. À l’origine, ce n’était qu’un murmure — une rumeur perfide glissant d’un palais au bord du fleuve à un bunker embusqué quelque part dans les collines de Mulenge. Le plan, enfanté dans les vapeurs moites d’un ressentiment mal digéré, relevait d’une logique d’initié : offrir l’Est du pays à la prédation rwandaise et à son bras armé, le M23, en échange d’un trône de porcelaine politique.

Ah ! Quelle fresque lugubre ! Voilà donc les princes déchus de Kinshasa se rêvant stratèges d’un chaos orchestré, où la peur servirait de levier, le sang de carburant, et l’humiliation nationale de monnaie d’échange. À mesure que les villes tombaient – Goma, Bukavu, Walikale – leurs fantasmes gonflaient, ivres de l’idée que l’agonie d’un peuple pouvait devenir tremplin.

C’est Joseph Kabila, figure à la voix rare mais au silence bavard, qui songea à un retour par l’Est, une « reprise de contact » disait-on. Traduisez : récupérer les cendres pour y planter une tente et revendiquer l’incendie comme œuvre fondatrice.

L’aveuglement stratégique. Mais dans cette symphonie de duplicité, les maestros autoproclamés oublièrent une partition essentielle : celle du réel. Le monde, cette bête capricieuse, n’a pas suivi leur script. Tandis qu’ils misaient sur le fracas des bottes et la poussière des routes pillées, Washington entamait ses conciliabules. Doha s’invitait à la table. Et Kinshasa, contre toute attente, résistait, négociait, reconfigurait le jeu.

Les accords, chuchotés sous des lustres qataris ou dans les couloirs feutrés de l’administration américaine, sont peut-être encore embryonnaires. Mais pour les artisans de l’abîme, ils sonnent déjà comme un glas : ils ne seront ni invités, ni mentionnés, ni même tolérés.

Les mercenaires de la parole. Alors, que faire quand la salle de bal vous est interdite ? On cogne à la porte de la cave. D’où surgit la vieille rengaine : dialogue national, union sacrée, réconciliation. Des mots usés, maquillés pour la parade, mais vides comme une enveloppe sans lettre. On ne veut ni paix ni justice. On veut simplement reparaître.

Et pour cela, on délègue. Corneille Nangaa, ce domestique des intrigues, parle en lieu et place des silencieux. Delly Sesanga, ce messager au costume impeccable, porte une supplique dissimulée sous les plis de la république. Tous réclament un siège, un micro, une part du gâteau empoisonné. Mais ils ne dialoguent pas. Ils quémandent. Fayulu, la CENCO, l’ECC : autant de silhouettes convoquées non pour leur poids moral, mais pour meubler la scène d’une pièce dont l’acte final a déjà été écrit — sans eux.

L’ambition nue sous le masque. Car il ne s’agit pas d’un projet collectif, encore moins d’un idéal. Il s’agit d’une revanche privée. D’un retour — non pas au service de la nation, mais au service de soi. Kabila, ce sphinx du silence, et Katumbi, ce paon de province aux plumes ternies, incarnent désormais une ambition déchue, désespérée, presque grotesque.

En pactisant avec ceux qu’ils accusaient hier, ils ont ôté le masque. L’ennemi d’hier est l’allié d’aujourd’hui. La mémoire est une variable. La loyauté, une posture. Tout est réversible. Tout est marchandable. Sauf le ridicule, hélas. Ainsi s’achève la farce. Les rois déchus ont envoyé leurs bouffons au front. Mais même les bouffons se fatiguent. La République, elle, vacille, mais résiste. Et dans les coulisses du chaos, une certitude demeure : la stratégie des vaincus, c’est de faire croire qu’ils jouent encore, alors qu’ils ne sont déjà plus que des ombres sur le mur d’un jeu qu’ils ont eux-mêmes piégé.

Litsani Choukran,
Le Fondé.


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Sud-Kivu : Altercation entre #FARDC et Wazalendo sur les collines surplombant la ville d'Uvira.

Selon des sources locales, jusqu'à ce jeudi 1er mai 2025, les coups de feu à armes lourdes et légères sont entendus même dans la ville.

Les affrontements ont éclaté suite à une dispute concernant l'emplacement d'une position des FARDC.

Cette situation crée une panique dans la ville d'Uvira et les activités socio-économiques tournent au ralenti.

Il sied de signaler que des altercations entre les forces armées de la République démocratique du #Congo et les éléments #Wazalendo sont récurrentes, or ils sont censés combattre l'ennemi en parfaite collaboration.


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#RDC : le Dr Babah Mutuza explique pourquoi le rêve du #M23 d’atteindre #Kinshasa est « utopique ».

Alors que les rebelles de l’AFC-M23 poursuivent leur offensive armée dans l’Est de la République démocratique du Congo, sous prétexte de vouloir renverser le régime en place, le docteur Babah Mutuza, chercheur et analyste politique basé au Nord-Kivu, estime qu’il s’agit là d’un projet utopique, fondé sur une logique mensongère et politiquement intenable.

Dans un entretien accordé à la presse ce jeudi 1er mai 2025, cet expert a livré une analyse pointue, balayant d’un revers de main l’idée d’une quelconque avancée des rebelles jusqu’à Kinshasa. Pour lui, plusieurs facteurs de blocage rendent cette ambition irréaliste.

« L’AFC-M23 ne pourra pas atteindre Kinshasa. C’est une impossibilité structurelle dans le contexte actuel », affirme-t-il. Il pointe d’abord l’impopularité du mouvement auprès des populations congolaises, un facteur sociopolitique déterminant. « Les rebelles n’ont aucun ancrage populaire. Et sans soutien local, aucune rébellion ne peut progresser durablement. »

Sur le plan géopolitique, le chercheur souligne que les alliances régionales jouent en défaveur de l’AFC-M23. « Le Burundi est un allié stratégique de Kinshasa. Il bloque ainsi tout accès au Sud. La Tanzanie, membre de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC), maintient une posture de neutralité, ce qui complique tout contournement logistique par le Tanganyika ou le Lomami. »

Babah Mutuza évoque ensuite l’ambiguïté de l’Ouganda, qui représente un maillon incertain dans le dispositif régional. Selon lui, la progression vers Kisangani, étape clé vers la capitale est également compromise.

« Vers le Nord, la seule hypothèse de percée serait que l’Ouganda rompe avec Kinshasa et ouvre un second front. Ce scénario reste hautement improbable. À défaut, l’armée congolaise désormais réorganisée, mieux équipée et répartie pourrait facilement contenir une offensive unilatérale via Walikale».

L’absence d’infrastructures, un atout pour la RDC

Le chercheur insiste également sur un facteur trop souvent négligé : l’absence d’infrastructures routières adéquates, qui rend tout déploiement logistique particulièrement hasardeux pour les groupes armés.

Outre les contraintes géopolitiques, Babah Mutuza identifie des obstacles logistiques majeurs : « Même en supposant une prise de villes comme Kisangani ou Kalemie, les rebelles seraient confrontés à un casse-tête logistique. Leur artillerie ne couvre pas 2 000 kilomètres jusqu’à Kinshasa. Et il n’existe aucun aéroport d’envergure dans les zones concernées pour assurer le ravitaillement».

Il évoque également l’impossibilité d’un soutien extérieur via la Zambie ou l’Angola, deux pays alliés de la RDC. « N’oublions pas qu’en 1998, l’Angola avait repoussé une incursion rwandaise dans le Kongo Central. Aujourd’hui encore, il constitue un rempart solide contre toute avancée ennemie. »

Un dialogue de semblant, mais contraignant

Pour l’analyste, cette impasse militaire contraint le M23 à se montrer flexible, tout en explorant des options de déstabilisation plus subtiles. Il met en garde contre une répétition des schémas de 2001, lorsque le président Laurent-Désiré Kabila fut assassiné dans un climat de tension extrême.

« Conscients de leurs limites, les rebelles simulent un engagement au dialogue. Pendant ce temps, le gouvernement doit, avec l’appui des Wazalendo, rendre les zones occupées ingouvernables, les asphyxier économiquement pour provoquer une fracture entre les rebelles et la population, et faire pression sur Kigali à travers la communauté internationale», souligne notre interlocuteur.

Il renchérit en indiquant que « Le M23, de son côté, tentera de rallier des leaders locaux, d’adopter une gouvernance de façade, tout en restant sous tutelle rwandaise et ougandaise. En dernier recours, ils pourraient chercher à semer le chaos à Kinshasa par une tentative de coup d’État ou une élimination ciblée du chef de l’État. Pour éviter un tel phénomène, le gouvernement doit se rappeler de ce danger pour renforcer la sécurité dans la capitale », insiste-t-il.

La conquête de Kinshasa par les armes reste donc, selon Babah Mutuza, une illusion stratégique portée par un discours guerrier sans fondements. Entre réalités géopolitiques, contraintes logistiques et absence de légitimité populaire, les chances de succès du M23 semblent s’amenuiser jour après jour.


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D'apres le journaliste Daniel Michombero dans sont reportage dans le zone occuper par le #m23.

Trois ans après sa chute, à quoi ressemble aujourd’hui Bunagana ?

La cité est passée sous contrôle des rebelles le 13 juin 2022. Depuis, voici ce qu’on y observe.

Infrastructures :
Rien n’a été détruit, mais rien n’a été construit non plus. Des bâtiments abandonnés, comme l’usine PREMIDIS, témoignent du gel total du développement.
De l'eau et le courant électrique sont permanents.

Économie :
La monnaie ougandaise domine dans la cité. Les petits commerçants poursuivent leurs échanges entre les deux pays, malgré la prolifération des taxes. Des pillages sont régulièrement rapportés, perpétrés par des hommes armés.

Éducation :
Les écoles ont rouvert leurs portes, mais les enseignants ne sont pas payés. Une grève annoncée a été étouffée par la rebellion qui a promis l'enfer à tout celui qui osera manifester.

Sécurité :
Moins de criminalité, mais une absence totale de liberté d’expression. La loi du plus fort prévaut. La cohabitation communautaire s’est fragilisée ; plusieurs témoignages pointent une communauté (Tutsi) qui aurait pris le dessus sur les autres.

Santé :
Les structures médicales fonctionnent au ralenti : peu de personnel, pénurie de médicaments et d’intrants.

Crise alimentaire :
La faim s’installe. Le PAM a commencé à distribuer de l’aide humanitaire, mais ça ne suffit pas.

Agriculture et élevage :
Les habitants dénoncent des vols réguliers de aleurs récoltes et bétail (vaches, chèvres, porcs, moutons), souvent la nuit, par des hommes armés.

Presse :
Plus aucune radio locale n’émet à Bunagana. Les habitants se rabattent sur les chaînes ougandaises, diffusées en anglais et en kiganda.
La radio communautaire "La Voix de Mikeno – RACOM" a été saccagée par le M23 le 14 juin 2022. Son directeur, André Byamungu, a disparu depuis.


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Alerte sur un partenariat risqué : la souveraineté numérique de la RDC en danger (Tribune)

La République Démocratique du Congo (#RDC) est confrontée à un défi majeur pour sa souveraineté numérique. Le 24 avril 2025, l’Office National de l’Identification et de la Population (ONIP) a signé un mémorandum d'entente avec la société tchèque #Mcorecode, désormais rebaptisée MCC Identity, pour la création d’un centre national de données. Cependant, des éléments alarmants émergent concernant cette entreprise.

Fondée en 2014 avec un capital social de moins de 10 000 USD, Mcorecode n’a pas démontré d’expérience préalable dans le secteur des centres de données jusqu’à fin 2024. Ce n’est qu’en novembre 2024 qu’elle a modifié son objet social et lancé un site internet pour se repositionner dans un domaine crucial. Ses états financiers révèlent un chiffre d'affaires annuel inférieur à 45 500 USD, une somme largement insuffisante pour un projet d’une telle envergure.

Plus inquiétant encore, alors que l’#ONIP finalisait son accord avec Mcorecode, elle était déjà engagée dans l’analyse des offres de Margins Group, une entreprise reconnue pour sa solide expertise en matière de gestion d'identité. Ce processus, soutenu par les autorités les plus élevées du pays, aurait dû être priorisé avant l'introduction d’un nouvel acteur sans antécédents.

Il convient de noter que la sélection de Margins Group n’était pas le fruit du hasard. Après plusieurs rencontres entre son directeur et le Président Félix-Antoine Tshisekedi, le choix de cette société avait été validé en raison de son expérience, de sa solidité financière et de son succès dans des projets similaires, comme le Ghana Card, considéré comme le meilleur système d'identification en Afrique.

La manière dont Mcorecode a été choisie soulève des questions légitimes :
- Peut-on confier la gestion de données identitaires stratégiques à une entreprise sans expérience, ni assise financière ?
- Pourquoi écarter un processus déjà validé par les plus hautes instances au profit d’une alternative non éprouvée ?
- Cette démarche respecte-t-elle les engagements de transparence et de bonne gouvernance envers le peuple congolais ?

La gestion de l’identité nationale est une question de souveraineté. Elle nécessite des partenaires expérimentés et fiables, choisis dans la transparence, pour le bénéfice du #Congo et de ses citoyens. La #RDC doit agir rapidement pour protéger ses intérêts numériques et assurer la sécurité des données de sa population. Son Excellence mr le Vice-premier Ministre et Ministre de l’intérieur est appelé à arrêter ce scandale et faire respecter les instructions salutaires de l’Autorité suprême.


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#RDC 🇨🇩: Joseph Kabila à Goma, Kinshasa suspend les activités du PPRD, son parti politique au pays.

Le Ministère de l'Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières dénonce et condamne :

➡️ L'attitude ambigüe de Monsieur Joseph Kabila, Ancien Président de la République, Sénateur à vie et Autorité Morale du Parti Politique « Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) » qui, face à l'occupation d'une partie du territoire national par l'armée Rwandaise et ses supplétifs du M23/AFC, n'a
jamais, dans ses déclarations devant la presse, condamné cette agression.

➡️ Son choix délibéré de rentrer au pays par la Ville de Goma sous contrôle de
l'ennemi qui assure curieusement sa sécurité.

➡️ A cet effet, le Ministère de l'Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières informe l'opinion que, conformément aux articles 29, 30 et 31b de la loi n° 04/002 du 15 mars 2004 portant organisation et fonctionnement des partis politiques, les activités du
Parti Politique « Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD)
sont suspendues sur toute l'étendue du territoire national.


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La République Démocratique du Congo a haussé le ton sur la scène internationale, pointant du doigt la persistance d’un discours manipulé autour des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR). Lors de la 9899ᵉ séance du Conseil de sécurité des Nations Unies, le mercredi 16 avril, la Ministre des Affaires étrangères, Thérèse Kayikwamba Wagner, a accusé Kigali d’exploiter la présence des FDLR sur le sol congolais comme prétexte à des interventions militaires jugées illégitimes.

«Les FDLR n’ont pas vocation à rester en République Démocratique du Congo. Ils doivent rentrer au Rwanda», a-t-elle affirmé, rappelant que ce groupe armé, souvent invoqué comme menace sécuritaire, sert aussi d’alibi géopolitique. Selon elle, des rapports du Groupe d’experts des Nations Unies confirment que cette menace est instrumentalisée à des fins stratégiques, détournant l’attention des véritables enjeux.

En insistant sur ce point, Mme Wagner a souhaité déconstruire une narration qui fait des FDLR un bouc émissaire perpétuel, alors même que de nombreux groupes armés déstabilisent la région et que l’exploitation illégale des ressources reste un moteur central des violences.

La diplomate congolaise a également rejeté toute tentative de polarisation ethnique du conflit. «En République Démocratique du Congo, aucune communauté n’est persécutée sur des bases ethniques. Les allégations de ciblage sont fausses», a-t-elle déclaré, mettant en garde contre l’instrumentalisation du discours communautaire à des fins d’ingérence.

Dans un geste fort, elle a élargi le débat mémoriel en évoquant le génocide des Hutus au Burundi en 1972, souvent occulté dans les discours officiels. «Perpétré dans le silence, il a coûté la vie à des dizaines de milliers de civils innocents», a-t-elle rappelé, soutenant la demande du Burundi pour sa reconnaissance officielle par l’ONU. «C’est un pas vers une mémoire juste et réconciliatrice».

Enfin, elle a appelé à faire du mois d’avril — trop souvent monopolisé par une mémoire hiérarchisée — un moment de recueillement commun pour toutes les victimes des Grands Lacs. «Regardons l’histoire dans toute sa complexité, sans manipuler les morts ni effacer certaines douleurs au profit d’autres».


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🚨🚨🚨🚨URGENT – LE PRÉSIDENT TSHISEKEDI NE SE REPRÉSENTERA PAS EN 2028 : ACCORD USA-RDC – LA VÉRITÉ DÉVOILÉE

🟥🟨🟦Les choses se clarifient enfin. Pendant que l’opinion publique se questionnait sur l’avenir politique de Félix Tshisekedi, des éléments clés confirment une décision majeure : le Président ne briguera pas un nouveau mandat en 2028.

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1️⃣ LE PRÉSIDENT TSHISEKEDI VEUT LAISSER UN HÉRITAGE AU CONGO.

Contrairement à certains de ses pairs africains, Tshisekedi ne cherche pas à s’accrocher éternellement au pouvoir.
🟥🟨🟦 Selon des sources proches des négociations avec les États-Unis, dans le cadre des accords « minerais contre sécurité », le président s’est engagé à quitter le pouvoir à la fin de son mandat.

« Quel que soit l'accord conclu, Tshisekedi veut s'assurer qu'il profite à la RDC », déclare Von Batten. « Il sait qu'il ne restera pas éternellement au pouvoir. »

Même dans le cadre de la révision constitutionnelle en cours, il ne s’engage pas sur la voie d’un pouvoir à vie à la Kagame.

🟥🟨🟦 Une commission de révision est déjà à l’œuvre pour proposer une constitution adaptée aux réalités et coutumes congolaises, loin des modèles importés de France ou du Rwanda.

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2️⃣ LA SÉCURITÉ – BLACKWATER ENTRE EN SCÈNE

Selon le Wall Street Journal, les services congolais ont engagé des discussions avancées avec l’entreprise militaire privée américaine d’Erik Prince, connue sous le nom de Blackwater.

🟥🟨🟦 Des tentatives similaires avaient eu lieu sous l’administration Biden, mais sans aboutir. Avec le retour de Trump au pouvoir, les choses semblent évoluer plus rapidement.

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3️⃣ ACCORD « MINERAIS CONTRE SÉCURITÉ » – UN CHOIX STRATÉGIQUE POUR LES USA

Alors que la Chine a fermé ses portes aux entreprises américaines avec des sanctions inédites, la RDC apparaît comme l'alternative idéale pour Washington

🔒 A. LA CHINE BLOQUE LES RESSOURCES STRATÉGIQUES

🟥🟨🟦 Pékin a interdit l’exportation de terres rares essentielles aux technologies militaires américaines :

- Samarium, gadolinium, terbium, dysprosium, lutécium, scandium, yttrium, tungstène, tellure, bismuth, molybdène, indium.

🟥🟨🟦 Ces matériaux sont cruciaux pour les F-35, sous-marins, et autres systèmes de défense.

🛑 B. SANCTIONS CONTRE DES ENTREPRISES AMÉRICAINES

- 12 entreprises interdites d’exportation vers la Chine
- Risque croissant pour l’industrie technologique et militaire US.

C. HAUSSE DES DROITS DE DOUANE CHINOIS

🟥🟨🟦 Les produits américains subissent désormais jusqu’à 125 % de taxes en Chine, affaiblissant considérablement les échanges commerciaux.

🇨🇩 POURQUOI LA RDC DEVIENT VITALE POUR WASHINGTON

L’Ukraine est partiellement inaccessible à cause de l’occupation russe. Dans ce contexte, la RDC devient une carte maîtresse pour les États-Unis, qui misent sur ses ressources stratégiques.

🟥🟨🟦 En retour, les sociétés américaines exigent des garanties solides : sécurité des investissements, absence d’expropriation, stabilité juridique.

En échange, la #RDC attend des entreprises responsables, qui iront au-delà du simple pillage pour investir durablement dans le développement du pays.


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#RDC: Près de 40 maisons ont été détruites après la pluie diluvienne qui s'est abattue dans la nuit de vendredi à samedi dans le territoire de Kasangulu, dans le sud-ouest de la République démocratique du Congo, a appris dimanche l'ACP de source administrative.
<<Nous avons jusque là répertorié environ 48 maisons écroulées après la pluie qui s'est abattue dans notre territoire>>, a déclaré Alain Mpiana, administrateur du territoire assistant de Kasangulu.
" Six quartiers, notamment les quartiers Résidentiel, Mawete 1, Mawete 2, Nvulanene, Luzamba et Nambi sur huit quartiers que regorge la cité de Kasangulu ont été touchés par cette catastrophe", a-t-il ajouté.


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