Le Sénat lève l’immunité de Joseph Kabila. L’ex-président est désormais exposé à des poursuites pour «trahison, crimes de guerre et collusion avec la rébellion M23/AFC». Un tournant judiciaire et politique majeur. #RDC #Kabila #M23


View 225 times

Poids lourds interdits en journée à Kinshasa : la FEC alerte sur les risques d’une application sans cadre légal ni logistique.

D’après des sources judiciaires proches du dossier, cette démarche s’appuie sur les résultats d’une enquête préliminaire révélant des indices sérieux de mauvaise gestion financière. Les soupçons portent notamment sur l’usage de fonds publics alloués à certains projets gouvernementaux. Conformément à la Constitution, toute procédure judiciaire visant un député requiert l’autorisation préalable de la chambre parlementaire dont il est membre — en l’occurrence, l’Assemblée nationale.

« Les éléments réunis évoquent des détournements en lien avec la gestion de fonds destinés à des projets d’intérêt public. Le ministère public attend désormais la décision de l’Assemblée nationale sur la levée de l’immunité du ministre », a indiqué un magistrat, sous couvert d’anonymat.

Figure montante de la scène politique congolaise, Constant Mutamba est connu pour son verbe incisif et son influence au sein de la majorité présidentielle. À la tête de la Dynamique Progressiste Révolutionnaire (DYPRO), il a joué un rôle déterminant lors des dernières élections et dans les débats institutionnels récents. La perspective d’une mise en cause judiciaire de ce pilier du gouvernement constitue un test majeur pour l’exécutif en matière de lutte contre la corruption.

L’Assemblée nationale devra désormais trancher. Une commission spéciale pourrait être constituée pour examiner les pièces du dossier et émettre une recommandation à l’intention de la plénière. Le vote des députés sera déterminant pour la suite de la procédure.

Cette requête du Parquet a aussitôt provoqué une vague de réactions. Tandis que l’opposition et plusieurs organisations de la société civile y voient un pas important vers la fin de l’impunité, les partisans du ministre dénoncent une tentative de déstabilisation politique.

Constant Mutamba ne s’est pas encore exprimé publiquement, mais son entourage dénonce une « manœuvre d’intimidation » visant à fragiliser sa position au sein de l’exécutif.

Si la levée de l’immunité est votée, le dossier sera porté devant la Cour de Cassation, seule juridiction habilitée à juger les membres du gouvernement en fonction. Dans un contexte de forte pression populaire pour une gestion plus transparente des finances publiques, l’issue de cette affaire pourrait faire date et marquer un tournant dans la lutte contre l’impunité en République Démocratique du Congo.


View 216 times

#RDC : la ferme de la fondation Panzi, œuvrant dans la prise en charge des femmes survivantes de violences sexuelles, a été vandalisée par les rebelles du M23-AFC, selon le constat dressé lundi par les responsables de cette structure à Katogota, au Sud-Kivu, dans l'Est de la République démocratique du Congo.

« La ferme de la fondation Panzi, basée à Katogota, dans le territoire d’Uvira, a été vandalisée par les rebelles du M23-AFC. Une décortiqueuse de riz et de maïs, une semoulière, une machine à emballer, une imprimante, une motopompe avec ses accessoires, (…) ont été emportés, ainsi que 18 porcs présents dans notre porcherie », a déclaré Pierrot Mushigo, agronome à la fondation Panzi.


View 213 times

Le Panel des Facilitateurs a salué les signaux positifs récemment envoyés par les protagonistes du conflit en RDC, en particulier leur ouverture à un dialogue inclusif. Ils ont exprimé leur profonde gratitude à Faure Gnassingbé pour son rôle déterminant dans la médiation et son engagement constant pour une Afrique pacifique et solidaire.

À travers cette initiative diplomatique majeure, Lomé confirme son rôle de carrefour de la paix africaine, et la RDC reste au centre des préoccupations des dirigeants engagés pour une solution durable à l’une des crises les plus complexes du continent.


View 177 times

Kabila, Katumbi et la stratégie des vaincus
Sous les oripeaux du patriotisme et les appels factices à l’unité nationale, une stratégie trouble se dessine. Kabila, Katumbi et leurs émissaires ressurgissent des marges du pouvoir, portés non par une vision, mais par une ambition blessée. Dans cet éditorial incisif, Litsani Choukran démonte les mécaniques d’une alliance contre-nature, où l’orgueil des vaincus tente de se réinventer en sauveurs de circonstance. Une plongée acérée dans les coulisses d’un retour programmé — ou d’une sortie pathétique.

Il y a dans certaines manœuvres politiques une mélancolie tragique, un air de valse triste sous un lustre poussiéreux. Nous voilà donc, une fois de plus, spectateurs d’un ballet grotesque, exécuté par ces vieux illusionnistes de la République qui, croyant dominer l’ombre, s’y sont noyés. Les revoici qui frappent à la porte d’un théâtre dont ils ont pourtant incendié la scène.

Le pacte secret avec l’agresseur. À l’origine, ce n’était qu’un murmure — une rumeur perfide glissant d’un palais au bord du fleuve à un bunker embusqué quelque part dans les collines de Mulenge. Le plan, enfanté dans les vapeurs moites d’un ressentiment mal digéré, relevait d’une logique d’initié : offrir l’Est du pays à la prédation rwandaise et à son bras armé, le M23, en échange d’un trône de porcelaine politique.

Ah ! Quelle fresque lugubre ! Voilà donc les princes déchus de Kinshasa se rêvant stratèges d’un chaos orchestré, où la peur servirait de levier, le sang de carburant, et l’humiliation nationale de monnaie d’échange. À mesure que les villes tombaient – Goma, Bukavu, Walikale – leurs fantasmes gonflaient, ivres de l’idée que l’agonie d’un peuple pouvait devenir tremplin.

C’est Joseph Kabila, figure à la voix rare mais au silence bavard, qui songea à un retour par l’Est, une « reprise de contact » disait-on. Traduisez : récupérer les cendres pour y planter une tente et revendiquer l’incendie comme œuvre fondatrice.

L’aveuglement stratégique. Mais dans cette symphonie de duplicité, les maestros autoproclamés oublièrent une partition essentielle : celle du réel. Le monde, cette bête capricieuse, n’a pas suivi leur script. Tandis qu’ils misaient sur le fracas des bottes et la poussière des routes pillées, Washington entamait ses conciliabules. Doha s’invitait à la table. Et Kinshasa, contre toute attente, résistait, négociait, reconfigurait le jeu.

Les accords, chuchotés sous des lustres qataris ou dans les couloirs feutrés de l’administration américaine, sont peut-être encore embryonnaires. Mais pour les artisans de l’abîme, ils sonnent déjà comme un glas : ils ne seront ni invités, ni mentionnés, ni même tolérés.

Les mercenaires de la parole. Alors, que faire quand la salle de bal vous est interdite ? On cogne à la porte de la cave. D’où surgit la vieille rengaine : dialogue national, union sacrée, réconciliation. Des mots usés, maquillés pour la parade, mais vides comme une enveloppe sans lettre. On ne veut ni paix ni justice. On veut simplement reparaître.

Et pour cela, on délègue. Corneille Nangaa, ce domestique des intrigues, parle en lieu et place des silencieux. Delly Sesanga, ce messager au costume impeccable, porte une supplique dissimulée sous les plis de la république. Tous réclament un siège, un micro, une part du gâteau empoisonné. Mais ils ne dialoguent pas. Ils quémandent. Fayulu, la CENCO, l’ECC : autant de silhouettes convoquées non pour leur poids moral, mais pour meubler la scène d’une pièce dont l’acte final a déjà été écrit — sans eux.

L’ambition nue sous le masque. Car il ne s’agit pas d’un projet collectif, encore moins d’un idéal. Il s’agit d’une revanche privée. D’un retour — non pas au service de la nation, mais au service de soi. Kabila, ce sphinx du silence, et Katumbi, ce paon de province aux plumes ternies, incarnent désormais une ambition déchue, désespérée, presque grotesque.

En pactisant avec ceux qu’ils accusaient hier, ils ont ôté le masque. L’ennemi d’hier est l’allié d’aujourd’hui. La mémoire est une variable. La loyauté, une posture. Tout est réversible. Tout est marchandable. Sauf le ridicule, hélas. Ainsi s’achève la farce. Les rois déchus ont envoyé leurs bouffons au front. Mais même les bouffons se fatiguent. La République, elle, vacille, mais résiste. Et dans les coulisses du chaos, une certitude demeure : la stratégie des vaincus, c’est de faire croire qu’ils jouent encore, alors qu’ils ne sont déjà plus que des ombres sur le mur d’un jeu qu’ils ont eux-mêmes piégé.

Litsani Choukran,
Le Fondé.


View 204 times

Sud-Kivu : Altercation entre #FARDC et Wazalendo sur les collines surplombant la ville d'Uvira.

Selon des sources locales, jusqu'à ce jeudi 1er mai 2025, les coups de feu à armes lourdes et légères sont entendus même dans la ville.

Les affrontements ont éclaté suite à une dispute concernant l'emplacement d'une position des FARDC.

Cette situation crée une panique dans la ville d'Uvira et les activités socio-économiques tournent au ralenti.

Il sied de signaler que des altercations entre les forces armées de la République démocratique du #Congo et les éléments #Wazalendo sont récurrentes, or ils sont censés combattre l'ennemi en parfaite collaboration.


View 203 times

#RDC : le Dr Babah Mutuza explique pourquoi le rêve du #M23 d’atteindre #Kinshasa est « utopique ».

Alors que les rebelles de l’AFC-M23 poursuivent leur offensive armée dans l’Est de la République démocratique du Congo, sous prétexte de vouloir renverser le régime en place, le docteur Babah Mutuza, chercheur et analyste politique basé au Nord-Kivu, estime qu’il s’agit là d’un projet utopique, fondé sur une logique mensongère et politiquement intenable.

Dans un entretien accordé à la presse ce jeudi 1er mai 2025, cet expert a livré une analyse pointue, balayant d’un revers de main l’idée d’une quelconque avancée des rebelles jusqu’à Kinshasa. Pour lui, plusieurs facteurs de blocage rendent cette ambition irréaliste.

« L’AFC-M23 ne pourra pas atteindre Kinshasa. C’est une impossibilité structurelle dans le contexte actuel », affirme-t-il. Il pointe d’abord l’impopularité du mouvement auprès des populations congolaises, un facteur sociopolitique déterminant. « Les rebelles n’ont aucun ancrage populaire. Et sans soutien local, aucune rébellion ne peut progresser durablement. »

Sur le plan géopolitique, le chercheur souligne que les alliances régionales jouent en défaveur de l’AFC-M23. « Le Burundi est un allié stratégique de Kinshasa. Il bloque ainsi tout accès au Sud. La Tanzanie, membre de la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC), maintient une posture de neutralité, ce qui complique tout contournement logistique par le Tanganyika ou le Lomami. »

Babah Mutuza évoque ensuite l’ambiguïté de l’Ouganda, qui représente un maillon incertain dans le dispositif régional. Selon lui, la progression vers Kisangani, étape clé vers la capitale est également compromise.

« Vers le Nord, la seule hypothèse de percée serait que l’Ouganda rompe avec Kinshasa et ouvre un second front. Ce scénario reste hautement improbable. À défaut, l’armée congolaise désormais réorganisée, mieux équipée et répartie pourrait facilement contenir une offensive unilatérale via Walikale».

L’absence d’infrastructures, un atout pour la RDC

Le chercheur insiste également sur un facteur trop souvent négligé : l’absence d’infrastructures routières adéquates, qui rend tout déploiement logistique particulièrement hasardeux pour les groupes armés.

Outre les contraintes géopolitiques, Babah Mutuza identifie des obstacles logistiques majeurs : « Même en supposant une prise de villes comme Kisangani ou Kalemie, les rebelles seraient confrontés à un casse-tête logistique. Leur artillerie ne couvre pas 2 000 kilomètres jusqu’à Kinshasa. Et il n’existe aucun aéroport d’envergure dans les zones concernées pour assurer le ravitaillement».

Il évoque également l’impossibilité d’un soutien extérieur via la Zambie ou l’Angola, deux pays alliés de la RDC. « N’oublions pas qu’en 1998, l’Angola avait repoussé une incursion rwandaise dans le Kongo Central. Aujourd’hui encore, il constitue un rempart solide contre toute avancée ennemie. »

Un dialogue de semblant, mais contraignant

Pour l’analyste, cette impasse militaire contraint le M23 à se montrer flexible, tout en explorant des options de déstabilisation plus subtiles. Il met en garde contre une répétition des schémas de 2001, lorsque le président Laurent-Désiré Kabila fut assassiné dans un climat de tension extrême.

« Conscients de leurs limites, les rebelles simulent un engagement au dialogue. Pendant ce temps, le gouvernement doit, avec l’appui des Wazalendo, rendre les zones occupées ingouvernables, les asphyxier économiquement pour provoquer une fracture entre les rebelles et la population, et faire pression sur Kigali à travers la communauté internationale», souligne notre interlocuteur.

Il renchérit en indiquant que « Le M23, de son côté, tentera de rallier des leaders locaux, d’adopter une gouvernance de façade, tout en restant sous tutelle rwandaise et ougandaise. En dernier recours, ils pourraient chercher à semer le chaos à Kinshasa par une tentative de coup d’État ou une élimination ciblée du chef de l’État. Pour éviter un tel phénomène, le gouvernement doit se rappeler de ce danger pour renforcer la sécurité dans la capitale », insiste-t-il.

La conquête de Kinshasa par les armes reste donc, selon Babah Mutuza, une illusion stratégique portée par un discours guerrier sans fondements. Entre réalités géopolitiques, contraintes logistiques et absence de légitimité populaire, les chances de succès du M23 semblent s’amenuiser jour après jour.


View 197 times

D'apres le journaliste Daniel Michombero dans sont reportage dans le zone occuper par le #m23.

Trois ans après sa chute, à quoi ressemble aujourd’hui Bunagana ?

La cité est passée sous contrôle des rebelles le 13 juin 2022. Depuis, voici ce qu’on y observe.

Infrastructures :
Rien n’a été détruit, mais rien n’a été construit non plus. Des bâtiments abandonnés, comme l’usine PREMIDIS, témoignent du gel total du développement.
De l'eau et le courant électrique sont permanents.

Économie :
La monnaie ougandaise domine dans la cité. Les petits commerçants poursuivent leurs échanges entre les deux pays, malgré la prolifération des taxes. Des pillages sont régulièrement rapportés, perpétrés par des hommes armés.

Éducation :
Les écoles ont rouvert leurs portes, mais les enseignants ne sont pas payés. Une grève annoncée a été étouffée par la rebellion qui a promis l'enfer à tout celui qui osera manifester.

Sécurité :
Moins de criminalité, mais une absence totale de liberté d’expression. La loi du plus fort prévaut. La cohabitation communautaire s’est fragilisée ; plusieurs témoignages pointent une communauté (Tutsi) qui aurait pris le dessus sur les autres.

Santé :
Les structures médicales fonctionnent au ralenti : peu de personnel, pénurie de médicaments et d’intrants.

Crise alimentaire :
La faim s’installe. Le PAM a commencé à distribuer de l’aide humanitaire, mais ça ne suffit pas.

Agriculture et élevage :
Les habitants dénoncent des vols réguliers de aleurs récoltes et bétail (vaches, chèvres, porcs, moutons), souvent la nuit, par des hommes armés.

Presse :
Plus aucune radio locale n’émet à Bunagana. Les habitants se rabattent sur les chaînes ougandaises, diffusées en anglais et en kiganda.
La radio communautaire "La Voix de Mikeno – RACOM" a été saccagée par le M23 le 14 juin 2022. Son directeur, André Byamungu, a disparu depuis.


View 185 times

Alerte sur un partenariat risqué : la souveraineté numérique de la RDC en danger (Tribune)

La République Démocratique du Congo (#RDC) est confrontée à un défi majeur pour sa souveraineté numérique. Le 24 avril 2025, l’Office National de l’Identification et de la Population (ONIP) a signé un mémorandum d'entente avec la société tchèque #Mcorecode, désormais rebaptisée MCC Identity, pour la création d’un centre national de données. Cependant, des éléments alarmants émergent concernant cette entreprise.

Fondée en 2014 avec un capital social de moins de 10 000 USD, Mcorecode n’a pas démontré d’expérience préalable dans le secteur des centres de données jusqu’à fin 2024. Ce n’est qu’en novembre 2024 qu’elle a modifié son objet social et lancé un site internet pour se repositionner dans un domaine crucial. Ses états financiers révèlent un chiffre d'affaires annuel inférieur à 45 500 USD, une somme largement insuffisante pour un projet d’une telle envergure.

Plus inquiétant encore, alors que l’#ONIP finalisait son accord avec Mcorecode, elle était déjà engagée dans l’analyse des offres de Margins Group, une entreprise reconnue pour sa solide expertise en matière de gestion d'identité. Ce processus, soutenu par les autorités les plus élevées du pays, aurait dû être priorisé avant l'introduction d’un nouvel acteur sans antécédents.

Il convient de noter que la sélection de Margins Group n’était pas le fruit du hasard. Après plusieurs rencontres entre son directeur et le Président Félix-Antoine Tshisekedi, le choix de cette société avait été validé en raison de son expérience, de sa solidité financière et de son succès dans des projets similaires, comme le Ghana Card, considéré comme le meilleur système d'identification en Afrique.

La manière dont Mcorecode a été choisie soulève des questions légitimes :
- Peut-on confier la gestion de données identitaires stratégiques à une entreprise sans expérience, ni assise financière ?
- Pourquoi écarter un processus déjà validé par les plus hautes instances au profit d’une alternative non éprouvée ?
- Cette démarche respecte-t-elle les engagements de transparence et de bonne gouvernance envers le peuple congolais ?

La gestion de l’identité nationale est une question de souveraineté. Elle nécessite des partenaires expérimentés et fiables, choisis dans la transparence, pour le bénéfice du #Congo et de ses citoyens. La #RDC doit agir rapidement pour protéger ses intérêts numériques et assurer la sécurité des données de sa population. Son Excellence mr le Vice-premier Ministre et Ministre de l’intérieur est appelé à arrêter ce scandale et faire respecter les instructions salutaires de l’Autorité suprême.


View 193 times

#RDC 🇨🇩: Joseph Kabila à Goma, Kinshasa suspend les activités du PPRD, son parti politique au pays.

Le Ministère de l'Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières dénonce et condamne :

➡️ L'attitude ambigüe de Monsieur Joseph Kabila, Ancien Président de la République, Sénateur à vie et Autorité Morale du Parti Politique « Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD) » qui, face à l'occupation d'une partie du territoire national par l'armée Rwandaise et ses supplétifs du M23/AFC, n'a
jamais, dans ses déclarations devant la presse, condamné cette agression.

➡️ Son choix délibéré de rentrer au pays par la Ville de Goma sous contrôle de
l'ennemi qui assure curieusement sa sécurité.

➡️ A cet effet, le Ministère de l'Intérieur, Sécurité, Décentralisation et Affaires Coutumières informe l'opinion que, conformément aux articles 29, 30 et 31b de la loi n° 04/002 du 15 mars 2004 portant organisation et fonctionnement des partis politiques, les activités du
Parti Politique « Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie (PPRD)
sont suspendues sur toute l'étendue du territoire national.


View 225 times