🔥ALERTE , LE VÉRITABLE VISAGE ET LA VÉRITABLE IDENTITÉ DU TUEUR DE #BUKAVU : JOSUÉ KING SAFARI.

➡️Nom complet : Josué King SAFARI
➡️Fils de : Pasteur SAFARI Mukombe
➡️ Ancien étudiant : Université HOPE, promotion 2011, filière Informatique de gestion
➡️ Position actuelle : Chef d’avenue Buholo 5 à Bukavu, nommé par les terroristes du M23/RDF

En plus il dit que "Hé bwana ANGUSHA ULE, MWENDE Kama umu supporter BIENYE tuna ONAKA MWENDE " 😭😭💔💔🇨🇩🇨🇩
Càd : Tuer le.
Allez-y si vous ne supportez pas ce que nous voyons.


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Par Byobe Malenga

Une vidéo poignante, filmée par un courageux citoyen congolais, révèle les atrocités perpétrées dans les zones occupées par les rebelles du M23, à Funu, un quartier de la ville de Bukavu. On y voit un civil, les mains en l’air, implorant la clémence d’un combattant du M23. Malgré ses supplications, il finit par être abattu froidement.

Avant l'exécution, un autre civil semblant collaborer avec les rebelles donne l’ordre de tuer :
« Tue-le ! » lance-t-il, avant de s’adresser aux autres témoins présents :
« Si vous ne pouvez pas supporter ce que nous voyons souvent, partez d'ici, allez un peu plus loin. »

La scène est insoutenable : à genoux, les bras levés, la victime supplie son bourreau :
« Mon père, je t’en prie, ne me tue pas. Pardon, s’il te plaît ! »
Puis, le bruit sec d’un tir, suivi d’un cri déchirant :
« Il m’a tué… Oh mon Dieu ! »

Ces images viennent une fois de plus confirmer les exactions commises contre les civils par les rebelles du M23, groupe armé soutenu par le Rwanda, selon plusieurs sources.

Jean Jacques Purusi, Gouverneur de la province du Sud-Kivu, a fermement dénoncé ces assassinats ciblés.

Il a appelé la communauté nationale et internationale à agir face aux violences qui endeuillent sa province.

Human Rights Watch accuse aussi le M23 d'exécutions sommaires

L’organisation Human Rights Watch (HRW) accuse aussi , le groupe armé M23 d’avoir sommairement exécuté des civils dans les zones qu’il occupe dans l’est de la République démocratique du Congo. Soutenu par le Rwanda, le M23 contrôle de vastes territoires depuis sa résurgence en 2021, et s’est emparé de Goma fin janvier.

Selon HRW, au moins 21 civils ont été exécutés à Goma lors de rafles menées par le M23, qui traque militaires et miliciens congolais dispersés. Le 22 février, sept personnes ont été tuées près d’un ancien camp militaire, et onze autres corps, dont celui d’un enfant, ont été découverts à proximité. Le lendemain, trois hommes ont été abattus alors qu’ils tentaient de fuir une tentative de recrutement forcé.


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Sud-Kivu: Plusieurs élèves finalistes enlevés par le M23 à Fizi .

Ils sont au total 18 jeunes qui ont été enlevés par les rebelles du M23 lundi 02 Juin 2025, après des affrontements qui ont opposé ces rebelles aux miliciens Wazalendo à Fizi dans le territoire de Kalehe au Sud-Kivu.

D’après les défenseurs des droits humains qui ont alerté, parmi ces jeunes figurent des élèves finalistes qui ont raté la session préliminaire des examens d’État en cours. Ces élèves sont soupçonnés par les rebelles d’être des résistants Wazalendo. Ces derniers ont été emmenés dans une destination inconnue. Ces défenseurs des droits humains qui ont requis l’anonymat, exigent la libération de ces jeunes enlevés.

En représailles, les Wazalendo ont enlevé un couple proche des rebelles du M23 à Kamunyerere.

Cette situation se déroule dans un contexte où les élèves finalistes passent leurs épreuves préliminaires des examens d’État edition 2025. Les appels au retour de la paix et de la restauration de l’État se multiplient dans la zone.

Azarias Mokonzi


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Ce pays lui a tout donné et appris, et aujourd'hui c'est avec notre propre argent qu'il veut nous faire la guerre !


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Est de la RDC: le groupe armé M23 «tue, torture et fait disparaître de force des détenus», accuse l’ONG Amnesty.

« Nous avons documenté au moins quatre cas où des détenus étaient torturés par le M23, et ces quatre personnes sont mortes à la suite de ces tortures », souligne Christian Rumu, chargé de campagne à Amnesty International pour la région des Grands Lacs, suite à la publication d’un rapport de l’ONG sur les pratiques du groupe armé dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC).

Dans un rapport publié ce 27 mai 2025, l’organisation de défense des droits humains affirme que « le Mouvement du 23 mars (M23), soutenu par le Rwanda, tue, torture et fait disparaître de force des détenus, en prend certains en otage et les soumet à des conditions inhumaines dans des lieux de détention à Goma et Bukavu », respectivement chefs-lieux des provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.

Dans l’est de la République démocratique du Congo (RDC), dans les zones occupées par le groupe politico-militaire AFC/M23, Amnesty international alerte sur des cas de torture et de mort dans les lieux de détention.

Dans un rapport publié ce 27 mai 2025, l’organisation de défense des droits humains affirme que « le Mouvement du 23 mars (M23), soutenu par le Rwanda, tue, torture et fait disparaître de force des détenus, en prend certains en otage et les soumet à des conditions inhumaines dans des lieux de détention à Goma et Bukavu », respectivement chefs-lieux des provinces du Nord-Kivu et du Sud-Kivu.
« Le M23 doit donner accès à ces sites »

Des actes qui violent le droit international humanitaire et sont susceptibles de constituer des crimes de guerre, toujours selon l’ONG. Christian Rumu, chargé de campagne à Amnesty International pour la région des Grands Lacs, souligne, au micro de notre correspondante à Kinshasa, Paulina Zidi : « Nous avons documenté au moins quatre cas où des détenus étaient torturés par le M23. Et puis, ces quatre personnes sont mortes à la suite de ces tortures. Nous avons documenté des cas d'arrestations arbitraires. Des personnes ont été arrêtées sur la base d’accusation selon lesquelles ces personnes collaboraient avec le gouvernement ou collaboraient avec la société civile. Mais tout cela sans preuve. »

Il poursuit : « Les 18 personnes que nous avons interviewées pour ce travail, nous ont dépeintes des conditions très très difficiles : on leur a refusé de la nourriture, même de l'eau. Mais elles ont aussi décrit des conditions sanitaires qui étaient horribles.»

Christian Rumu conclut : « Nous sommes très alarmés par cette situation, parce que ces actes, qui constituent une violation grave du droit international humanitaire, et qui peuvent en fait constituer des crimes de guerre, se passent dans des conditions où il n’y a pas du tout de monitoring de ce qu’il se passe sur le terrain. Il faut absolument que le M23 donne accès aux moniteurs internationaux pour qu'ils puissent visiter ces sites. »


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Le chef du M23 vient de parler sans même dire un mot aux morts de l'est, ni condamner le M23.


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#Goma : les #M23 s’introduisent dans un hôpital et enlèvent 5 éléments FARDC sous traitement.

Les rebelles du M23 continuent de traquer les éléments de Forces Armées de la République peu importe le lieu et leur situation. Le cas de ce mardi, les rebelles se sont introduits dans l’hôpital Kyeshoro, en ville de Goma, à la recherche des « FARDC » où ils ont amené par force, cinq éléments #FARDC blessés et qui étaient pris en charge, pour une destination inconnu.

Selon plusieurs sources médicales et locales, les assaillants ont opéré dans le calme, sans qu’aucun tir ni acte de violence ne soit signalé sur les lieux.

« Les militaires du M23 sont arrivés tôt le matin de ce mardi à l’hôpital. Ils ont amené cinq malades, qui sont tous des éléments FARDC qui étaient pris en charge par l’hôpital. Il n’y a pas eu accrochage ni bruit à l’hôpital », indique une source locale dont nous raisons le nom.

Cette même source indique que les patients enlevés ont été conduits vers une destination inconnue. Jusque là l’identité de ces militaires enlevés, leur état de santé, ainsi que les circonstances exactes de l’opération restent inconnus jusqu’à maintenant.

Une nouvelle incursion des militaires du M23 dans un hôpital à Goma qui a mis dans un état de stress et d’inquiétude les patients et civils au tour de l’hôpital. Jusqu’à présent aucune réaction des autorités militaires n’a été faite, ni celle du gouvernement congolais.


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Agression rwandaise: la #LUCHA dénonce l’enlèvement d’un de ses militants et de centaines de jeunes par le #M23.

Dans un climat d’insécurité grandissante à Goma, le mouvement citoyen Lutte pour le Changement (#LUCHA) tire la sonnette d’alarme après l’enlèvement de son militant Aloys Bigirumwami, ce mardi 13 mai 2025. Ce dernier aurait été capturé, avec son jeune frère, par les rebelles du M23 appuyés, selon la LUCHA, par des éléments de l’armée rwandaise.

Selon l’organisation, Aloys Bigirumwami, déplacé depuis 2022 vers Rutshuru pour fuir les exactions du M23, faisait depuis plusieurs mois l’objet de menaces anonymes. « Notre camarade recevait déjà des messages d’intimidation et de menaces de la part du M23 », a indiqué la LUCHA dans un communiqué.

L’enlèvement d’Aloys s’inscrit dans une série d’enlèvements massifs perpétrés à Goma et Sake ces quatre derniers jours. La LUCHA fait état de plus d’une centaine de jeunes enlevés dans des opérations qualifiées de «chasses à l’homme», soupçonnées de viser le recrutement forcé et l’élimination d’opposants.

« Nous exprimons nos plus vives inquiétudes pour la sécurité de notre camarade et de tous les jeunes kidnappés. Ce type d’opérations a déjà conduit par le passé à des enrôlements forcés dans les rangs des rebelles ou à des assassinats ciblés de militants de la paix », déplore la LUCHA, dénonçant la terreur exercée contre la population civile non armée.

L’organisation met également en lumière l’impunité ambiante : « Chaque jour, des corps sans vie sont découverts ou des personnes sont exécutées, sans qu’aucune enquête sérieuse ne soit ouverte pour identifier ou poursuivre les auteurs ».

Pour la LUCHA, cette impunité alimente ce qu’elle qualifie de «véritable industrie de la mort», utilisée pour instaurer la peur, museler la société civile et cibler particulièrement les jeunes engagés.

Face à cette situation alarmante, le mouvement citoyen condamne fermement ces actes qu’il qualifie de barbares, et avertit : « Le M23 et ses complices seront tenus responsables de tout acte commis contre notre camarade ».

Enfin, la LUCHA lance un appel urgent à la communauté internationale afin qu’elle intervienne pour obtenir la libération des jeunes enlevés et mette fin aux atrocités commises contre la population civile à Goma et ses environs.


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Assassinat du Major Mustapha Diamba Okonda par le #M23/RDF . Le Major Mustapha Diamba Okonda, chef de service de la #DEMIAP à #Bunagana, a été capturé et assassiné par les terroristes du M23, appuyés par le #RDF.

Après la prise de contrôle de Goma par le M23, le Major, gravement malade, s’était réfugié chez des amis, conscient que sa vie était en danger.
Dans un ultime espoir de survie, il décide de fuir vers Beni, en passant par Rutshuru et Kiwandja. Mais à Rumangabo, il tombe entre les mains des terroristes.

Malgré son état de santé critique, les M23/RDF l’ont emprisonné sans aucun soin médical, refusant même le minimum de traitement, le laissant mourir à petit feu dans une cellule.
C’est comme ça qu’il est mort cette semaine


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#Goma : 5 corps sans vie découverts ce samedi, La découverte la plus choquante concerne deux jeunes hommes, âgés d’une trentaine d’années, retrouvés à proximité de l’Université Libre des Pays des Grands Lacs (ULPGL). Le premier corps, gisant sur la chaussée près de la faculté de droit, portait des stigmates de torture effroyables avec des membres ligotés, un coup de marteau au front et un lacet kaki serré autour du cou. Un second corps, présentant les mêmes horribles similitudes, a été découvert non loin de là, derrière le campus Moise de l’ULPGL, près d’un motel du quartier Himbi.

L’horreur ne s’arrête pas là. Trois autres corps, dans un état de putréfaction avancée, ont été découverts dans un trou profond du quartier Kasika, à la limite de Mabanga Sud. La profondeur du trou a contraint la protection civile à procéder à leur inhumation sur place.
Parallèlement à ces découvertes macabres, d’autres actes de violence ont été signalés durant la même nuit.

Au quartier Mabanga Nord,Mme Nicole Kavira KavuNghera, pharmacienne, a été lâchement prise pour cible à la sortie de son officine. Des bandits à moto lui ont tiré dans les jambes. Son mari, qui l’accompagnait, a assisté impuissant à cette agression. Mme Kavira a été transportée d’urgence à l’hôpital Heal Africa pour recevoir les soins nécessaires.Toujours dans le même quartier, un certain Papa Augustin a été blessé à la tête par d’autres individus circulant également à moto.


Cependant, grâce à la vigilance des jeunes volontaires, appuyés par les militaires effectuant des rondes communautaires, deux bandits ont été appréhendés. Enfin, au quartier Lac Vert, des tentatives de vol ont été mises en échec grâce à la vigilance de la population, malgré les conditions météorologiques défavorables dues à la pluie.


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