Entre #Ousmane #Sonko et l’État du #Sénégal, un match sans merci. Alors que le coup de sifflet final approche, la capacité de l’opposant à déposer son dossier de candidature avant le 26 décembre reste incertaine.


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Lors de son meeting au Nord-Kivu, l’une province sous la coupe des groupes armés, le Président #FélixTshisekedi a d’abord nargué le leader du parti politique « Ensemble pour la République » en qualifiant de « candidat de l’étranger », pour ensuite s’en prendre au Président #rwandais, le traitant d’Hitler.

En réaction, le candidat numéro 3 pour qui d’autres candidats Président ont désisté – #MatataPonyo, #DellySessanga et Seth Kikuni – a rétorqué en dézinguant le candidat de l’Union sacrée de la Nation.

« Si nous avons une bonne armée, si notre armée est respectée, les pays voisins aussi vont nous respecter. Parce que pour le moment, le problème est que nous avons un président qui pleure chaque jour », a-t-il lâché.

« Ce n’est pas en pleurant ou en attaquant qui que ce soit, #Kagame ou les autres. Il faut passer à l’action. Si on me provoque, je dois me défendre. Donc pour moi, ce qui est important c’est avoir une efficacité, donc l’armée doit agir, ne doit pas pleurer ou dire que la faute est l’autre, non ! On a tellement pleurer qu’on ne nous respecte plus », a taclé l’opposant de 58 ans.


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